Colloque, 27 mars 2015

Presse et ondes radiophoniques: sur les traces des voix disparues

Micheline Cambron
Marilou Saint-Pierre
couverture
(Re)constituer l’archive, événement organisé par Figura-NT2 Concordia

«1922 marque une année importante dans l’histoire médiatique québécoise. En effet, c’est en septembre qu’est lancée la première radio commerciale de langue française sur le territoire de la province, avec l’ouverture de la station CKAC, radio de La Presse. Cette décision du plus important journal montréalais francophone de l’époque de lancer sa propre station de radio n’est pas une exception pour l’époque, mais plutôt une tendance lourde. Cette situation nous amène à interroger sous un nouvel angle les relations entre presse et radio, souvent représentées comme des ennemies, comme des concurrentes sur le marché de l’information.»

Micheline Cambron est professeure au Département des littératures de langue française de l’Université de Montréal, où elle a dirigé le Centre d’études québécoises (CÉTUQ) de 1997 à 2003. Cofondatrice, avec Denis Saint-Jacques, du  Centre de recherche sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ), elle en a dirigé le site Université de Montréal de 2003 à 2006, puis a assuré la direction de l’ensemble du CRILCQ en 2006. Elle a assumé, de 2006 à 2008, les fonctions de Secrétaire de Faculté et de Vice-doyenne aux communications et aux relations internationales de la Faculté des arts et des sciences de l’Université de Montréal.

Marilou St-Pierre est doctorante en communication à l’Université Concordia. Elle a co-dirigé la publication Crise des médias et effectifs rédactionnels au Québec.

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