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Le vendredi 27 octobre 2017, la séance, Trop de bruit ou de mots pour rien?, a accueilli Kevin Lambert (U. Montréal), pour une conférence intitulée «Faut-il « bien » écrire?», et Bernabé Wesley (UQAM) pour une conférence intitulée «La question sociale et les sons du contemporain (Benotman, Cosnay, de Kerangal)».
Communications de l’événement
Faut-il «bien» écrire?
«Faut-il bien écrire?
À cette question, je peux en ajouter d’autres. Que considère-t-on comme “mal écrire” au Québec aujourd’hui? De telles questions de valeur sont-elles pertinentes pour penser la création littéraire? Comment une certaine idée de l’écriture, de sa forme, de sa matérialité et de son imaginaire influence-t-elle ma manière de faire des phrases?
Je ne tenterai pas de donner une réponse définitive à cette question, mais je m’en servirai plutôt afin d’avancer quelques figures de ce qui, actuellement, est considéré par certains comme le fait d’un mal écrire.»
La question sociale et les sons du contemporain (Benotman, Cosnay, de Kerangal)
Dans le cadre de cette conférence, Bernabé Wesley s’intéresse à la question des sons et de la voix dans le roman contemporain. Pour ce faire, il prend en exemples trois romans écrits respectivement par Maylis de Kerangal, Marie Cosnay et Don Delillo.