Conférence, 20 octobre 2015

Pratiques et contraintes de la traduction littéraire au Canada

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Dans le cadre du cycle de conférences en traductologie et avec la collaboration du Département d’études françaises de l’Université Concordia, Rachel Martinez a prononcé, le 20 octobre 2015, une conférence intitulée «Pratiques et contraintes de la traduction littéraire au Canada».

Lors de cette conférence, Rachel Martinez témoigne de son expérience dans l’industrie de la traduction au Canada. Elle s’intéresse particulièrement aux problématiques liées à ce domaine ainsi qu’aux défis auxquels font face les traducteurs et traductrices.

Après avoir longtemps travaillé dans les milieux de l’art et des communications, Rachel Martinez se consacre exclusivement à la traduction depuis une quinzaine d’années. Elle est membre de l’Ordre des traducteurs, terminologues et interprètes agréés du Québec, de l’Association des traducteurs et traductrices littéraires du Canada et de l’Association des traducteurs littéraires de France. Polyglotte, Rachel Martínez a traduit une trentaine d’ouvrages (romans, récits, biographies, essais, catalogues d’exposition, monographies d’artistes et littérature jeunesse) pour des éditeurs réputés. Au nombre des auteurs qu’elle a traduits, citons Maude Barlow, Douglas Coupland, Daniel Lanois, John Ralston Saul, Jeff Rubin et Margaret Somerville. Elle aremporté en 2005 le Prix du Gouverneur général en traduction française pour Glenn Gould, une vie de Kevin Bazzana paru chez Boréal et Buchet-Chastel (France) l’année précédente. Plus récemment, Les maux d’Ambroise Bukowski de Susin Nielsen lui a valu une nomination au Prix du Gouverneur général en traduction française et une mention sur la Liste d’honneur 2013 de IBBY (International Board on Books for Young People) pour l’excellence de la traduction française pour le Canada.

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