Conférence, 8 décembre 2016

La judiciarisation de l’imprimé. Les Crime Comics, entre le goupillon et le marteau

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À l’invitation du groupe de recherche sur «Les écrivains en procès» dirigé par Mathilde Barraband, Pierre Hébert a donné, le 8 décembre 2016, une présentation de ses travaux sur la censure au Québec au tournant des années 1950-1960, en mettant particulièrement en relief le rôle des Crime comics pour expliquer le passage de la censure cléricale à la judiciarisation du contrôle de l’imprimé.

La rencontre a aussi été l’occasion de revenir sur des cas récents de judiciarisation de la littérature et de l’art au Québec.

Pierre Hébert est professeur associé au Département des Lettres et Communications de l’Université de Sherbrooke. Membre de la société royale du Canada depuis 2006 et récipiendaire de nombreux prix, il est également membre du conseil de l’association québécoise pour l’étude de l’imprimé (AQÉI) et du GRÉLQ, le groupe de recherche et d’études sur le livre au Québec, rattaché à l’Université de Sherbrooke. Pierre Hébert travaille sur la littérature québécoise, notamment la censure, le roman et la critique littéraire et il s’est consacré récemment à l’édition critique de la correspondance de Louis Dantin.

Pour consulter les autres projets réalisés par le groupe de recherche franco-québécois L’art en procès, cliquez ici.

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