Table ronde, 6 février 2013
Que faire de la part métafictionnelle des oeuvres contemporaines?
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«J’ai préféré laisser la parole à des chercheurs qui, comme les auteurs qu’ils étudient, ont vécu l’époque postmoderne sans lui appartenir vraiment. Littérature post-postmoderne. Critique post-postmoderne. Pour moi ça allait de soi.»
Moana Ladouceur est doctorante en études littéraires à l’UQAM. Après s’être penchée à l’occasion de son mémoire de maîtrise sur Dave Eggers et son usage paradoxal de la métafiction comme destruction/renforcement de l’illusion référentielle, elle s’intéresse maintenant à Kazuo Ishiguro et à la possibilité de l’engagement littéraire postmoderne dans tout ce que cet engagement peut avoir d’euphémique, de silencieux et d’ambigu. Ses intérêts de recherche portent sur la littérature contemporaine, du postmodernisme à aujourd’hui, et plus particulièrement sur les productions anglaises et américaines.