Colloque, 21 avril 2016
Dimension humaniste de la poésie de Senghor: un imaginaire au service de la tolérance et du respect de l’altérité
Au colloque tenu en hommage à Senghor au Maroc en 1990, le président Abdou Diouf concluait son message sur cette déclaration:
«Transformer le monde pour qu’il soit à la mesure de l’homme, à la mesure de ses aspirations et de son bien-être, c’est le rêve de tout homme politique. C’est aussi le rêve de tout poète. Il me semble que l’humanisme senghorien se trouve tout entier dans cette double et noble aspiration qu’aujourd’hui encore l’âge n’a pas entamée.»
Bocar Aly Pam est chercheur post-doctorant à l’Université Assane Seck au Sénégal. Sa thèse, publiée en 2012, portait sur la critique de la société africaine post-coloniale à travers quatre romans contemporains: L’impasse de Daniel Biyaoula (1996), Epitaphe d’Antoine Matha (2009), Place des Fêtes de Sami Tchak (2001) et Assèze l’Africaine de Calixthe Beyala.