OBSERVATOIRE DE L'IMAGINAIRE CONTEMPORAIN
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Cahiers de l'IREF
Université du Québec à Montréal
Directeur·trice(s):
Bélanger, Jennifer
Huberland, Manon
Lafontaine, Marie-Pier
N° de la publication:
9
2022
L’histoire d’une fille devant sa mère, c’est «pour qui je me prends», mais aussi «pour qui je la prends, elle».
| N° de la publication:
1
2020
L'exode des cerveaux de Philippe St-Germain est une enquête consacrée aux fictions philosophiques portant sur des extractions, transferts et greffes de cerveaux, en tout ou en partie.
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Azzouz, Aziza
Pouvoir de l’architecture et construction du sens de l’habitat à la lumière de «L’Homme de cendres» de Nouri BouzidLe cinéma tunisien est porteur d'images de lieux privilégiés au point où l’on serait tenté d’en faire une typologie répondant à des identifications socioculturelles, historiques, affectives ou mythiques. | La protestation cyborg: la femme inconnue dans la science-fictionDans le cadre de sa communication, Sylvain Lavallée explore le croisement entre la figure du cyborg et le concept de la femme inconnue tel que le philosophe Stanley Cavell le définit dans son ouvrage La protestation des larmes. |
«Lui si féru de virilité». Souvenirs de Charlus et mythologie du jeune homme dans le cinéma de Luchino Visconti«De quoi la virilité est-elle le nom dans l'univers élargi de Marcel Proust, c'est-à-dire dans ses textes, mais également dans les adaptations de ceux-ci au cinéma? Je me concentrerai sur le personnage qui incarne le mieux le fonctionnement assez complexe de la virilité dans La recherche du temps perdu, Palamède de Guermantes, le baron Charlus.» | Corps et communautés guerrières en culture populaire contemporaine«Le deuxième film de Mad Max, Road Warrior, sorti en 1981, présentait une combattante tout simplement nommée The Warrior Woman, aussi reconnue comme l’Amazonian Woman de la trilogie originale. Cette warrior woman solitaire à la courbe dramatique anémique et à la longévité déplorable n’a, selon moi, rien d’une Amazone, si ce n’est l’allure et les fonctions martiales. |
Amazones en images: rémanence d'un mythe, jadis et naguèreÀ partir de quelques exemples, Andrea Oberhuber analyse la «rémanence de ces figures singulièrement plurielles en ce qui concerne leur figuration picturale et cinématographique». De ce fait, Oberhuber aborde les trois thèmes du colloque: pouvoir, communauté et sacrifice. | Fiction, historiographie et témoignage: Conférence de Johanne VilleneuveJohanne Villeneuve aborde la tension entre représentation et documentation au cinéma à partir du film Le fils de Saul (László Nemes, 2015) qui porte sur la Shoah. |
«Snowpiercer»: l'apocalypse, et après? La lutte des classes dans l'Arche de NoéDans cette communication, Claudia Dubé analyse Snowpiercer, un film post-apocalytique réalisé par Bong Joon Ho en 2013, à partir des intertextes bibliques qui le composent. | «Mad Max»: histoire hasardeuse d'une franchise postapocalyptiqueAntonio Dominguez Leiva présente une synthèse de ses travaux sur l’influence de la saga Mad Max sur notre imaginaire culturel à partir de ses recherches publiées dans l’ouvrage Mad Max. L’apocalypse sera motorisée (Éditions le murmure, 2016). |
«Les Derniers Jedi». S'affranchir des lois de son univers ou méditer les codes cinématographiques de la saga?L’analyse va s’intéresser à la composition narrative de la superproduction Star Wars: Episode VIII – The Last Jedi (2017) de Rian Johnson. | Le tueur à gages et ses représentations modernesFigure désormais centrale de la culture populaire, le tueur à gages -communément appelé Hitman depuis le succès de la franchise de jeu vidéo éponyme– est un personnage dont les reprises et interprétations multiples démontrent une méconnaissance et un mystère qui entourent cette "profession" de l'ombre. |
«Bates Motel», entre prequel, reboot et remakeFort d’une franchise bien établie au fil des décennies, l’univers narratif de Psycho s’est vu largement étendu avec l’arrivée de la série télévisée Bates Motel en 2013. | «What's in a name?»: Petite archéologie intertextuelle de Panem«C’est une banalité de dire qu’un livre renvoie à tous les autres, que chaque livre porte en lui la mémoire et l’écho de tous ceux qui l’ont précédés, sous toutes les formes de la citation, de la réminiscence, de l’emprunt, de l’allusion, écrivait en 1999 Henri Mitterand dans un texte fondamental, mais trop peu cité dans le gigantesque capharnaüm des débats sur l’intertextualité, à moins que ce ne soit plutôt un colossal gloubi-boulga, ce mets imaginaire préféré à toute autre chose par le dinosaure Casimir, totem et emblème de L’île aux enfants que les moins de 4 |