OBSERVATOIRE DE L'IMAGINAIRE CONTEMPORAIN
Résultats de la recherche
Résultats de la recherche
Conférence
Université du Québec à Montréal
Bilodeau, Jean-Pascal
Lundi 30 Novembre 2020
| Conférence
Université du Québec à Montréal
La voix déterritorialise. Autour du recueil «Qui s’installe?»Ruiz, Hector
Mardi 30 Septembre 2014
|
Conférence
Université du Québec à Montréal
Un rivage de ville: un détournementCarpenter, J.R.
Lundi 22 Septembre 2014
| Conférence
Université du Québec à Montréal
Introduction à la notion de géopoétique urbaine. La marche flâneuse en milieu urbainCarpentier, André
Lundi 15 Septembre 2014
|
Conférence
Université du Québec à Montréal
Introduction à la géopoétiqueBouvet, Rachel
Lundi 15 Septembre 2014
| Déambuler rue Ontario. Raboudinage d'une artère montréalaiseSi certaines artères de la ville de Montréal, comme Saint-Laurent (la Main), Saint-Denis, Saint-Urbain et Sainte-Catherine, ont obtenu leurs lettres de noblesse par le biais d'oeuvres littéraires marquantes, leur vie culturelle ou la diversité de leurs habitants, il n'en va pas de même pour la rue Ontario. Celui qui déambule rue Ontario se rend compte rapidement qu'il entre en contact avec des mondes contrastés qui, pourtant, témoignent d'une certaine cohérence. Entretenant un rapport métonymique avec les quartiers qu'elle traverse, à savoir le Centre-Sud et Hochelaga-Maisonneuve, cette Main de l'East Side montréalais, tantôt espace de liberté, tantôt cimetière, est présentée dans la chanson populaire et dans la littérature québécoise comme une courtepointe.
|
Lecture et imaginaire au prisme de la géopoétiqueL'imaginaire du lecteur est lié à un ancrage géographique, à une manière singulière de se situer dans le monde pour établir des liens entre les lieux et les cultures. | Bestiaire hochelagais«Aller à la rencontre d'un quartier. Essayer d'y être clandestine. De poser sur lui un regard à la fois panoptique et intime. Marcher. Passer. Traverser en s'efforçant de ne pas laisser de traces. De ne pas en altérer l'image.» |
Le monde est Sharp«Le monde est sharp à Hochelaga, il est vraiment sharp. | Au détour des lieux [communs]: croiser Hochelaga«Croiser Hochelaga. Il y a au moins 1 171 355 personnes qui te traversent, oh! Parc Préfontaine, pour entrer dans tes profondeurs, dans la bouche chaude de ta station et de ton édicule futuriste d'un autre temps. Si certains t'empruntent pour te quitter, d'autres te roulent dessus.» |
Hochelaga «desiderata»«Le vrai est un moment du faux. Je me serai, beaucop plus que je ne le pensais, heurtée à cette question de la vérité à Hochelaga. Heurtée à cette peur de manquer potentiellement de respect à ce que j'ai vu, découvert.» | Vouz'aut faites carte: lignes de fuite hochelagaises«Je n'habite Hochelaga que depuis le mois d'août. Au fil des premières déambulations, je me suis aperçu que les photos et les notes que je prenais faisaient appel à une sensibilité tributaire de mes souvenirs, de mes territoires, ailleurs.» |
Mille regrets«Je vais vous lire 16 poèmes. Mille regrets, c'est le nom du recueil sur lequel je travaille.» | Dans ce quartier il y a un fleuve«Hochelaga de béton concret, concrétude, concréattitude.» |