Cette table ronde a rassemblé Julie Demers, auteure de Barbe, son premier roman paru chez Héliotrope en 2015; Dominique Paul, artiste visuelle représentée par la Miyako Yoshinaga Gallery (Chelsea, New York) depuis 2013; Karine Payette, artiste multidisciplinaire dont le travail se déploie à travers l’installation, la photographie et la vidéo; et Karine Turcot, artiste visuelle polyvalente qui crée par le biais de diverses disciplines telles que la sérigraphie, l’installation, la sculpt
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Que peuvent offrir, en spécificité, les oeuvres hypermédiatiques à la gestion du deuil et de la commémoration des morts? L’art littéraire a de tout temps accompagné le deuil. «Art du temps» selon la classification de Lessing, la littérature repose sur un déploiement temporel qui peut épouser la durée indissociable de la traversée de l’épreuve d’un décès en lui donnant une forme. La performativité des textes de deuil et de commémoration repose en ce sens sur une formalisation efficace de la temporalité. Qu’en est-il dans les pratiques numériques?
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«Aujourd’hui, j’aimerais vous proposer en tant qu’artiste chercheur de m’appuyer sur ma dernière création, Délicat Contact #1, afin d’en tirer des pistes de réflexions autour des questions de cette journée d’étude. Plus précisément, j’explorerai la représentation du rapport corps-espace et la notion d’instabilité sera le fil rouge de mon propos. J’essaierai de l’explorer à plusieurs niveaux dans ma création et de l’affiner peu à peu afin d’en dégager ses intérêts pour la question du rapport corps-espace.»
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Dans le cadre du colloque Le corps contemporain et l'espace vécu: entre imaginaire et expérience, Damien Beyrouthy a présenté, les 25 et 26 novembre 2016, son installation intitulée Délicat contact #1, au Cégep de Saint-Jérôme.
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Je vais vous parler du travail d'une artiste montréalaise, Natascha Niederstrass, dont le travail touche, en partie, à la culture populaire. C'est un travail auquel je me suis intéressé dans la foulée de mes recherches sur la photographie en art contemporain et sur les rapports entre la photographie, l'art actuel et la scène de crime.
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Dans le cadre du colloque Femmes ingouvernables: (re)penser l'irrévérence féminine dasn l'imaginaire populaire contemporain, Marie-Anick Blais, Vicky Bertrand, Sarah Laurendeau, Marie-Noëlle Voisin et Catherine Chabot ont présenté la pièce TABLE RASE. Après avoir montré un extrait de la pièce au public du colloque, les artistes ont discuté de la conception de la pièce, du jeu d'interprétation et des enjeux de la mise en scène. La discussion était animée par Samuel Archibald.
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L'exposition comme un livre étalé sur les murs, ou le livre comme espace d'exposition: cette réversibilité est forte déjà d'une histoire longue et tourmentée.
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Arianne Blanchet-Lapointe considère que sa démarche artistique est toujours en mouvance: elle est en constante évolution. Le miroir est l'occasion d'un tête-à-tête entre l'artiste et ses oeuvres et lui permet de se pencher un peu sur son propre reflet.
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L’objet de cette rencontre sera de favoriser les échanges et de partager les expériences en recherche et création autour de pratiques qui sollicitent le corps, qu’il soit imaginaire, imaginé, modifié, dansé, détourné ou encore avatar. Le corps est le sujet et l’objet qui a toujours occupé une place prépondérante dans la littérature, les arts visuels, les arts de la scène et les recherches scientifiques tant sur les plans esthétique et historique que médical.
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