OBSERVATOIRE DE L'IMAGINAIRE CONTEMPORAIN
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Cahiers de l'IREF
Université du Québec à Montréal
Publication Director(s):
Bélanger, Jennifer
Huberland, Manon
Lafontaine, Marie-Pier
Volume:
9
2022
L’histoire d’une fille devant sa mère, c’est «pour qui je me prends», mais aussi «pour qui je la prends, elle».
| Cahiers de l'IREF
Université du Québec à Montréal
Féminismes, sexualités, libertésPublication Director(s):
Désy, Caroline
Saint-Martin, Lori
St-Gelais, Thérèse
Volume:
8
2017
Le colloque organisé par l’IREF et tenu le 11 mai 2016 a abordé les liens entre les féminismes (pensés au pluriel et impliquant convergences, dissensions et débats), la sexualité et la liberté.
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Researchers Articles
Université du Québec à Montréal
Quand l'augure parle depuis le cercle polaire. Le paysage palimpseste dans «La mort vive» de Fernand OuelletteBrassard, Denise
2009
Qu’il adopte la posture de poète, de critique d’art ou de romancier, tout, dans l’œuvre de Fernand Ouellette, semble destiné à réfracter la lumière.
| Researchers Articles
Université du Québec à Montréal
Fernand Ouellette et l'engagement dans le vertical. Quelques échanges autour de «L'Inoubliable»Brassard, Denise
2007
Cinquante années d’écriture, une œuvre aussi abondante et diversifiée, voilà qui ne se résume pas en dix pages.
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«Chronique lesbienne du moyen-âge québécois» de Jovette Marchessault: la résistance lesbienne comme «contre-espace» de désirParmi les études qui s’attardent à «Chronique lesbienne du moyen-âge québécois» notons celles de Forsyth (1991), Saint-Martin (1991) et Schechner (2012). Il s’agit ici de replonger dans ce texte pour voir de quelle façon une lecture contemporaine de l’œuvre permet de régénérer nos imaginaires féministes et lesbiens. Puisque le thème de l’adolescence lesbienne, comme l’avait explicité Schechner (2012), y est central, je m’y attarderai aussi, en montrant comment celui-ci est en étroite relation avec le thème du désir. Ma lecture de «Chronique lesbienne du moyen-âge québécois» s’attardera aux formes de résistance que la protagoniste oppose à son environnement et montrera comment ces formes contribuent à la mise en place d’un «contre-espace» où le désir est central.
| «La maison étrangère» d'Élise Turcotte: un parcours vers une sexualité investie d'affectLes protagonistes d’Élise Turcotte, à la vie intérieure foisonnante, considèrent le rapport à l’autre à la fois comme une voie vers la rédemption et comme le lieu de toutes les possibles défaites. Aussi Élizabeth, la protagoniste et narratrice de La maison étrangère, peut-elle souffrir intensément du départ subit de son conjoint Jim tout en voyant cette rupture comme prévisible et irrémédiable. Je voudrais montrer que cette réaction surprenante sous-tend un désir pas encore reconnu chez Élizabeth de vivre et de penser autrement, de passer, pour appréhender le monde, du mode de connaissance par les images –sa thèse sur les codes de l’amour courtois au Moyen Âge et son conjoint Jim, photographe– au mode de connaissance par l’affect, régi par les sens, en particulier ceux de proximité (olfaction, toucher).
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Présentation: Féminismes, sexualités, libertésLe colloque organisé par l’IREF et tenu le 11 mai 2016 a abordé les liens entre les féminismes (pensés au pluriel et impliquant convergences, dissensions et débats), la sexualité et la liberté. Autant l’appel de communications que la liste non exhaustive d’axes de réflexion proposés découlaient de notre souci d’ouverture à toutes les disciplines et à tous les types de réflexions. Par exemple, dans une perspective historique, les trois termes auraient pu nous amener à parler de contraception et de planification des naissances, ou encore des luttes pour le contrôle de leur corps qu’ont menées des groupes de femmes.
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De l'inspiration à leur mise en abyme, Hervé Guibert et les imagesValérie Cavallo s'intéresse au rapport entre l'oeuvre littéraire et la photographie d'Hervé Guibert. | Table ronde - Paroles d'auteur·e·s: les iconothèques par celleux qui les fontLa table ronde «Paroles d'auteur·e·s: les iconothèques par celleux qui les font», animée par Bertrand Gervais, a réuni Valérie Cordy, Pierre Ménard et Michaël Trahan. |
Iconothèques et processus créatif: collecte, agencement et manipulation des images, la construction poétique à l'œuvre chez Tony HarrisonLucie Houdu s'intéresse au poète britannique contemporain Tony Harrison, qui se distingue par le caractère hybride de son travail, une création foisonnante et multiple qui se veut toute entière oeuvre de poésie. | Formes esthétiques et postures masculines en désordre chez Philippe De JonckheereSpyridon Simotas s'intéresse à l'oeuvre de Philippe De Jonckheere, plus particulièrement au site desordre.net et son arrière-boutique «Le garage». |
Jeux d'images: dispositifs et enquêtes dans les pratiques poétiques contemporainesJeff Barda et Philippe Charron s'interrogent sur le statut de l'image dans les pratiques poétiques contemporaines, sur la question du dispositif de l'enquête et sur la manière dont les poètes travaillent à partir d'images, les déplacent, les reconfigurent dans les textes ou les objets poétiques complexes, hybrides ou spécifiques. Les participants réfléchissent à la question de l'usage et de l'écosystème. | A, B, C de l'iconothèque contemporaineEn guise d’introduction au colloque, Bertrand Gervais, Corentin Lahouste et Anne Reverseau ont prononcé une communication dans laquelle ils se penchent sur les enjeux de définition rencontrés en janvier et septembre 2021 lors des deux précédentes rencontres qui constituent, avec le présent événement, un cycle d’activités de recherche sur la notion d’iconothèque. |