Conférence, 12 décembre 2014

Communauté et singularité chez Agamben: puissance, langage, forme-de-vie

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Dans le cadre du RADICAL et du séminaire SEM921: La sémiologie tardive. Penser ensemble, la communauté, dirigé par Sylvano Santini, Suzanne Beth a prononcé, le 12 décembre 2014, une conférence intitulée «Communauté et singularité chez Agamben: puissance, langage, forme-de-vie».

«Cette présentation vise à donner des clés de lecture sur un des pents qui est le moins connu du travail d’Agamben, notamment les questions de biopolitique avec les concepts qui lui sont associés. […] Cette pensée s’organise beaucoup autour de l’dée de “forme-de-vie” qu’Agamben définit comme une “vie qui ne peut être séparée de sa forme”, “une vie pour laquelle, dans sa manière de vivre, il y va de la vive même”.»

Suzanne Beth est doctorante en études cinématographiques à l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur la médiation de la destruction dans le cinéma de Yasujiro Ozu. Elles visent à comprendre dans quelle mesure le cinéma en tant que technique a paradoxalement pu constituer pour Ozu un cadre de rencontre et de médiation permettant d’affronter les transformations brutales causées par la modernisation accélérée du Japon sous l’influence des pays occidentaux et de leur culture technique.

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