Colloque, 28 avril 2017

De soulier(s) et de cendres. Cendrillon comme représentation de l’immortalité du conte dans l’imaginaire social contemporain

Marion Gingras-Gagné
couverture
Figures de l’immortel(le), événement organisé par Sophie Horth, Marie Levesque et Revue Post-scriptum

«Selon moi, l’immortalité du conte de Cendrillon serait à être envisagée à la fois dans sa fixité, la fixité de sa forme, et sa non-fixité.

Je m’explique: la question de l’immortalité ne peut se concevoir sans prendre en compte sa mise à l’écrit par Perrault qui a permis au conte de traverser les siècles jusqu’à nous. Cependant, si la forme fixe du conte a permis son passage à la postérité, c’est surtout, selon moi, c’est surtout sa multiplicité et sa malléabilité qui ont permis à l’oeuvre de perdurer, notamment par sa réécriture.

Dans cette communication, je tenterai de voir de quelles manières le conte de Cendrillon, par sa capacité d’adaptation au social, se veut le compte immortel qui survit à la fois par sa forme fixe mais aussi par sa constante réécriture.»

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