Colloque, 28 avril 2011

Le post-humain dans un monde post-apocalyptique: questionnements antagonistes au prisme du roman «Le Goût de l’Immortalité» de Catherine Dufour

Tony Thorström
couverture
Mutations et inquiétudes: art, littérature et science à la croisée des chemins, événement organisé par Jean-François Chassay, Marianne Cloutier et Stéphanie Chifflet

«Cette présentation consiste en l’analyse du roman de science-fiction Le Goût de l’Immortalité écrit en 2005 par l’écrivaine Catherine Dufour. Dans ce roman, Dufour se pose des questions importantes sur le posthumanisme, le rôle de l’environnement et les démarcations entre l’organique et l’artificiel. Ce roman a été choisi comme un cas d’étude d’une performance littéraire de la vision posthumaniste, mais aussi comme un livre qui explore l’interrelation entre l’humain et la nature. Le mot antagoniste qui figure dans le titre de cette communication est issu de deux notions: posthumanisme et écocritique. Ces mouvements, dans leurs convictions étroites, représentent une menace alarmante contre la liberté de l’individu.»

Tony Thorström est doctorant en littérature romane à l’Université d’Uppsala (Suède) sous la direction de Sylviane Robardey-Eppstein, en co-direction avec Jean-François Chassay de l’Université du Québec à Montréal.

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