Conference
Université du Québec à Montréal
Toucher à l'image, toucher à la mort. Des masques mortuaires chez Heidegger et Blanchot
Alloa, Emmanuel
Programme de recherche RADICAL
Wednesday 24 February 2016, 14:00
Conference
Université du Québec à Montréal
Toucher à l'image, toucher à la mort. Des masques mortuaires chez Heidegger et BlanchotAlloa, Emmanuel
Programme de recherche RADICAL
Wednesday 24 February 2016, 14:00
| Researchers Articles
Université du Québec à Montréal
«Fantastique et orientalisme», suivi de «Le mort-vivant», «Le serpent et la sangsue» et «L'Atlantide»Bouvet, Rachel
Cet article rassemble les quatre entrées rédigées par Rachel Bouvet dans l'«Encyclopédie du fantastique», dirigée par Pierre Brunel et Valérie Tritter.
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Researchers Articles
Université du Québec à Montréal
L'Orient et les reflets de la mort dans les contes de Poe: du fantastique au comiqueBouvet, Rachel
«De tous les sujets mélancoliques, se demande Poe dans "Genèse d’un poème", quel est le plus mélancolique selon l’intelligence "universelle" de l’humanité?
| Lamoureux, Emilie
«Les Sept Jours du talion»: du livre à l'écranMon analyse portera sur la question de l’intériorité; plus précisément, sur la façon dont la dimension psychologique, si importante dans le roman Les Sept Jours du talion de Sénécal, est rendue à l’écran. Je tenterai de démontrer que, malgré les contraintes imposées par le média d’arrivée, lequel repose sur l’image, le son et le montage, les états d’âme des personnages du roman sont bien reconduits dans l’adaptation de Podz. |
Vinson, Marie-Christine
Sur Jean Echenoz, «14»L'extrait choisi -le début du roman- se termine par cette «Aures habet, et non audiet» («Ils ont des oreilles et n'entendent pas»), qui est une référence à la Bible et à «Quatrevingt-treize» de Victor Hugo. Si cette citation joue le rôle d'une prophétie, la lecture peut alors se pratiquer comme une sorte de mantique qui permet de retrouver le faisceau des intersignes, des signes annonciateurs d'un événement dramatique (la guerre, la mort, les morts), présents dans le texte.
| Chassay, Jean-François
Rester, attendre, évoluer. De la guerre et de la mortLe livre d’Ovide démontre que l’évolution, la métamorphose, a partie liée avec l’imaginaire depuis longtemps. Le concept d’évolution, cependant, a pris une valeur scientifique à l’approche du XIXe siècle, avec les travaux de Lamarck, Cuvier, Hutton, Lyell, qui remettaient en question le modèle fixiste religieux.
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Lazure, Stéphanie
En commençant par la fin: ou la mort comme origine d'un impossible récitTout d'abord, il y a la fin. De celle-ci, véritablement, rien ne peut être dit. Elle est inconcevable: un point d'absence qui se saisit comme arrêt, toujours repoussé vers un ailleurs qui l'avale. Elle est ce que l'on ne peut appréhender, l'inaccessible refermé sur lui-même.
| Baril, Geneviève
Abel Beauchemin, messie, supplicié et chevalier de l'écriture apocalyptiqueAlors qu'il est transporté en ambulance au cours d'une nuit d'épouvante qui le recouvre de sa ténèbre, apparemment en transit vers sa mort imminente, Abel Beauchemin, romancier fictif et narrateur du Don Quichotte de la démanche de Victor-Lévy Beaulieu, fait un songe étrange.
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Roldan, Martin
Le mouvement des fluides. «La Machine d'eau de Manhattan», de E. L. DoctorowIl y a de ces fins qui ne veulent pas finir, qui se croient éternelles, qui vont à l’encontre de leur nature. S’agit-il encore d’une fin quand elle dépasse ses limites? Quand elle refuse de se conformer à sa propre définition? Comment expliquer une fin qui n’en est pas une? Une fin qui s’annule, en quelque sorte?
| Vidal, Jean-Pierre
Un mauvais moment à passer. Les épiphanies de l'altérité dans «La Voix du maître» de Stanislas LemToute pensée qui s’efforce d’imaginer la fin absolue se heurte à l’aporie de devoir concevoir aussi une fin relative, la sienne propre. Et c’est sans doute le plus difficile. Car la fin que l’on peut penser est toujours celle que l’on peut voir: celle des autres. C’est pourquoi la fin totale, comme sa propre fin à soi, ne peuvent jamais que dessiner le lieu de l’Autre absolu.
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Hamon, Hélène
L'épreuve du cancer. De l'errance au sensÉtymologiquement, errance vient du latin errare qui signifie «se tromper», «s’égarer», et c’est souvent en ces termes que les femmes évoquent, au moins dans un premier temps, l’expérience du cancer: elles se sentent «perdues», elles n’ont plus de repères, ceux-ci se sont «tous effondrés», elles sont face à «un trou», face «au vide», plongées dans le noir «des ténèbres».
| Carrières, Mélanie
Apparition des lieux dans «La Pleurante des rues de Prague» de Sylvie GermainSylvie Germain est l’auteur de plusieurs romans dans lesquels la nuit, comme métaphore de l’invisible et de l’insaisissable, occupe une place prépondérante. Dans La Pleurante des rues de Prague, la nuit s'oppose au jour, davantage associé à une possibilité de percevoir la réalité des choses.
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Avec ou sans la tête. Représenter la sublimation
4 november 2017, 21:05
Travail en cours, modifications et ajouts à venir | La marge où l’homosexualité confine : subversion ou résistance
8 october 2017, 19:59
Version inachevée, travail en cours |